Il n'y a pas que le mouvement pacifiste international qui réclame l'arrêt de la guerre en Ukraine. De réputés journalistes, le secrétaire général des Nations-Unies et même un amiral de l'armée des États-Unis le demandent aussi, sachant que nous jouons avec la sécurité mondiale et risquons une guerre nucléaire.

Chris Hedges, pour la Russie et l'Ukraine, et Lyle Goldstein, au sujet de la Chine et de Taiwan, démontrent bien que la nouvelle Stratégie de sécurité nationale des États-Unis n'est qu'un euphémisme pour parler de la protection de leur hégémonisme, même au risque d'avoir à répondre de l'utilisation des armes nucléaires. Samir Saul et Michel Seymour creusent davantage les causes politiques et économiques qui sous-tendent ces conflits.

Et le gouvernement Trudeau, sans remettre en question la politique militariste de son prédécesseur Stephen Harper, et encore moins les pressions de son voisin du sud, appuie et renchérit en augmentant le budget militaire canadien.

D'ailleurs la militarisation de l'économie, les profits faramineux de l'industrie militaire sont dénoncés dans un article venu de France, concernant la guerre au Yémen, et dans celui de Boucar Diouf sur la guerre en Ukraine.

Nous ouvrons aussi une nouvelle chronique sur ce qui se fait ailleurs dans le mouvement pour la paix.

Boris s'illustre encore pour nous faire comprendre l'urgence mondiale qui nous fait exiger une désescalade.

Et finalement, en culture, c'est Danielle Messia qui sème pour nous des mots de paix.

Nous souhaitons que ces lectures vous guideront comme toujours vers le calendrier et les actions qui vont nous permettre de ne pas rester simples spectateurs. Notre cérémonie alternative pour le jour du Souvenir en fait partie.
 

Merci de porter le coquelicot blanc et d'agir avec nous pour la paix.

Le comité infolettre, Jean Baillargeon, Jacques Grenier et Raymond Legault

N'hésitez pas à nous écrire à   infolettre@echecalaguerre.org.