À l’occasion de la Journée internationale de la paix, le Devoir a publié un cahier spécial Paix, le 21 septembre 2018.
Cette année marque le 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Peut-on encore rêver d’atteindre cet idéal commun? État des lieux et réflexions, en cette Journée internationale de la paix.
Contenu du cahier (fichier en pdf) et contenu sur le site du Devoir :
- Bangladesh: terre d’accueil douce-amère (C1 et C3)
- Développement durable, synonyme de paix (C2)
- Et chez nous, qu’en est-il ? (C2)
- Un monde en paix en 2018, une utopie? (C4).
Rêver de la paix reste une utopie en 2018, au sens où il n’est pas clair si nous y arriverons un jour. Cependant, c’est une nécessité d’essayer d’en finir avec le militarisme.
Les puissances nucléaires possèdent plus de 15 000 ogives. Nous avons les moyens d’annihiler plusieurs fois l’humanité.
La guerre et le militarisme détournent des ressources financières colossales vers l’achat d’armes, lesquelles ne servent qu’à tuer, à estropier, à terroriser les gens et à détruire leurs milieux de vie. En 2016, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, les dépenses militaires mondiales s’élevaient à plus de 2 billions de dollars. Cet argent pourrait servir à l’environnement, à la lutte contre la pauvreté, à l’éducation et à bien d’autres choses.
Solutions : Le Canada devrait se retirer de l’OTAN et devenir un État neutre et pacifiste.
Il devrait aussi cesser d’exporter des armes. En 2016, notre pays était le 2e exportateur d’armes vers la poudrière du Moyen-Orient.